La malédiction d'Anubis de Paul Charles Doherty
En 1479 avant J.-C., le juge suprême de Thèbes, Amerotkê, est confronté à une série d'énigmes d'apparence insolubles. Dans l'enceinte sacrée du temple d'Anubis, un prêtre et une danseuse ont été assassinés et la Gloire d'Anubis, l'imposante améthyste qui ornait la statue du dieu a été dérobée. Au même moment, dans un temple à l'abandon près des rives du Nil, Sinoué, un célèbre voyageur, a lui aussi été tué et les précieux papyrus dans lesquels il avait consigné ses récits de voyage ont disparu. D'étranges similitudes relient ces événements qui semblent tous avoir pour but de déstabiliser le règne de la jeune reine Hatchepsout. L'ombre de Seth, le dieu meurtrier, plane sur l'Empire du Nil et Amerotkê, aidé du nain Shoufoy, son serviteur et conseiller, est le seul à pouvoir l'arrêter.
Paul C. Doherty est l'auteur de plusieurs séries historico-policières, publiées sous divers pseudonymes, dont notamment : les enquêtes de Kathryn Swinbrooke, apothicaire à Cantorbéry au XVe siècle ; les enquêtes de Hugh Corbett, espion du roi Édouard Ier, celles de Télamon, un proche d'Alexandre le Grand, et celles d'Amerotkê, juge dans l'Égypte du XVe siècle avant J.-C. (publiées sous le nom de Paul C. Doherty), les enquêtes de Nicholas Segalla, le voyageur du temps (publiées sous le nom d'Ann Dukthas) ; et enfin les aventures de frère Athelstan, un dominicain du XIII' siècle (publiées sous le nom de Paul Harding).
Après avoir lu quelques enquêtes de Kathryn Swinbrooke et de Hugh Corbett, je me suis jetée dans les enquètes d'Amerotké en plein coeur de l'Egypte ancienne.
Si l'univers de l'époque est bien décrit et l'intrigue bien menée j'avoue être restée sur ma faim quand aux motivations "trop técommandées" du coupable. De plus, pour moi qui l'avais idéalisée (dans ma tête de grande rêveuse), la reine Hatchepsout est présentée de façon bien trop cruelle... Mais peut être était ce ainsi dans la réalité ???
A bientôt
Sygal